.png)
Sylvie Meya, ce n’est pas un hasard du micro. Elle est tombée dans le sport comme Obélix dans la potion : son papa était entraîneur, donc à la maison, ça parlait plus de hors-jeu que de cuisine. Elle a grandi avec les ballons, les sifflets et les “passe-moi le ballon sinon je te tacle”.
Résultat : diplôme en poche de l’UCC en communications sociales, et la voilà qui envahit les ondes comme Messi dans une défense fatiguée.
Quand elle commente un match, oublie la télé, coupe tout ! Même si tu es dans un taxi à Kinshasa, tu vas voir le but rien qu’à l’entendre. Avec sa voix posée mais piquante, elle peut te décrire une action avec une précision chirurgicale tout en glissant une punchline qui te fait éclater de rire. Même les arbitres hésitent à siffler quand ils savent qu’elle est au micro.
Mais Sylvie Meya ne fait pas que commenter. Elle gère aussi. C’est elle la présidente de la commission de presse de la Linafoot. Et pour couronner le tout, depuis décembre 2024, la CAF a dit : “Toi, on te veut !” Et bim ! Officier média pour la RDC. Autant dire qu’elle est sur tous les fronts : du stade à la salle de presse, elle distribue les passes décisives.
Instagram ? Elle y est. X (anciennement Twitter) ? Elle y fait des passes longues de 280 caractères. Entre deux commentaires de match, elle milite pour le sport féminin, tacle gentiment ceux qui dorment sur le foot congolais et encourage la nouvelle génération. Toujours avec style, bien sûr.
Sylvie Meya, c’est un peu comme une capitaine dans un vestiaire plein de rookies. Elle motive, elle corrige, elle éclaire. Une femme de terrain, de radio, de bureau et de réseaux. En RDC, quand on parle de journalisme sportif, on met son nom en majuscules. Et si tu ne la connais pas encore, fais un effort : tape son nom et laisse-toi commenter.
Sa Majesté
