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D’un côté, le Professeur Félicien Tshimungu Kandolo, DG de l’INA. De l’autre, le Professeur Aimé Kasongo Mandé, DG de l’INACO. Les deux boss ont signé un accord main dans la main, avec un objectif clair : faire briller les archives comme jamais !
« C’est une journée historique ! », s’est exclamé le DG de l’INA. Pour lui, ce partenariat est un exemple à suivre. « Il est temps que les institutions congolaises apprennent à aimer leurs archives comme elles aiment leurs selfies ! », a-t-il lancé, sourire aux lèvres.
Le DG de l’INACO, lui, était tout aussi ravi. Il a souligné que cet accord tombe à pic, juste avant la Journée internationale des archives, célébrée le 9 juin. « Une belle manière de montrer que nos archives ne dorment pas, elles attendent juste qu’on les réveille ! », a-t-il plaisanté.
Grâce à ce deal, l’INA va profiter de l’expertise de l’INACO pour ranger, protéger et numériser ses documents. L’INACO va venir sur place, faire un diagnostic, former les agents, superviser le déménagement des vieux dossiers, et lancer la grande opération de scan.
Mais ce n’est pas tout ! En échange, l’INA va donner un coup de projecteur sur l’INACO. Au menu : un chant de sensibilisation sur les archives (oui, on va danser pour les dossiers !), un documentaire, une pièce de théâtre radiophonique et même des spectacles.
Bref, l’INA et l’INACO veulent prouver que les archives ne sont pas juste des vieux papiers bons pour l’oubli. Ce sont des trésors nationaux, pleins d’histoires, qu’il faut chérir comme nos chansons préférées.
Archives oubliées ? Fini ! Place aux archives stars !
Gullith Basakisa
